La Cinematek célèbre le cinéma algérien

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À l’occasion des 60 ans du cinéma algérien, la Cinémathèque royale de Belgique (Cinematek) propose jusqu’au 14 février une programmation de 21 séances, avec le soutien de l’ambassade d’Algérie à Bruxelles.

Épaulés des cinéastes Chafik Allal, Kamel Dehane et Yasmine Chouikh, du producteur Hakim Abdelfettah et de l’historien du cinéma Olivier Hadouchi, la Cinematek propose un cycle pour rendre compte « de la richesse et de la diversité du cinéma algérien » avec, au programme, dans l’ordre chronologique :

  • J’ai huit ans de Yann Le Masson, 1961 [court métrage]
  • Algérie année zéro de Marceline Loridan-Ivens et Jean-Pierre Sergent, 1962 [court métrage]
  • Tronc de figuier/Les Mains libres d’Ennio Lorenzini, 1964
  • La Bataille d’Alger de Gillo Pontecorvo, 1966
  • Elles d’Ahmed Lallem, 1966 [court métrage]
  • Festival Panafricain d’Alger de William Klein, 1969
  • Alger insolite ! de Mohamed Zinet, 1971
  • Chronique des années de braise de Mohammed Lakhdar-Hamina, 1975
  • La Nouba des femmes du mont Chenoua d’Assia Djebar, 1977
  • Omar Gatlato de Merzak Allouache, 1977
  • Nahla de Farouk Beloufa, 1979
  • Histoire d’une rencontre de Brahim Tsaki, 1983
  • La Citadelle de Mohamed Chouikh, 1988
  • Kateb Yacine, l’amour et la révolution de Kamal Dehane, 1989
  • La Fin des Djinns de Cherif Aggoune, 1990 [court métrage]
  • La Montagne de Baya d’Azzedine Meddour, 1997
  • Rachida de Yamina Bachir-Chouikh, 2002
  • La Parade de Taos de Nazim Djemaï, 2009 [court métrage]
  • Atlal de Djamel Kerkar, 2016
  • Jusqu’à la fin des temps de Yasmine Chouikh, 2017
  • À Mansourah tu nous as séparés de Dorothée-Myriam Kellou, 2019
  • Nar de Meriem Achour Bouakkaz, 2019
  • Papicha de Mounia Meddour, 2019
  • Héliopolis de Djaffar Gacem, 2021
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