Haut et Court dévoile son année 2021

Gagarine, de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh ©Margaux Opinel

[Mis à jour le 1er juin – article daté du 3 mai 2021]

Le distributeur date 10 films d’ici janvier 2022, sans oublier de trinquer  à la réouverture des salles avec Thomas Vinterberg. 

Après ses sorties décalées de janvier et de mars 2021, c’est finalement le 23 juin que Gagarine de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh, labellisé Cannes 2020, arrivera au cinéma. Suivra, le 21 juillet, True Mothers de la Japonaise Naomi Kawase (Label Cannes 2020).

Deux autres nouveautés sont prévues pour l’été, à commencer le 11 août par Ce qui reste (anciennement titré Copilot) de l’Allemande Anne Zohra Berrached (Berlinale 2021), auparavant daté au 27 juillet, puis le premier long métrage solaire d’Emma Benestan, Fragile le 25 août

Haut et Court entamera la rentrée dès le 15 septembre avec Les Amours d’Anaïs de Charline Bourgeois-Taquet, dont la sortie a été avancée d’une semaine. Cette comédie romantique rassemble Anaïs Demoustier, Valeria Bruni Tedeschi et Denis Podalydès. Initialement prévu pour Noël 2020, l’animation Le Peuple loup de Tom Moore et Ross Stewart se date au 20 octobre, sur la Toussaint 2021. 

À propos de Joan de Laurent Larivière (Je suis un soldat) sortira le 3 novembre. Ce portrait d’une femme bouleversée par le retour d’un amour de jeunesse réunit Isabelle Huppert, Swann Arlaud et l’Allemand Lars Eidinger. Enfin, Haut et Court entamera l’hiver avec Panthère des neiges de Marie Amiguet, adapté de le l’œuvre de l’écrivain voyageur Sylvain Tesson et du photographe animalier Vincent Munier, le 1er décembre. Attendue le 11 août, la romance S-F allemande I’m Your Man de Maria Schrader (la réalisatrice de Stefan Zweig, adieu l’Europe mais aussi de la série Netflix Unorthodox), sortira elle le 22 décembre. Le distributeur tease aussi l’année 2022 à venir avec Memory Box de Khalil Joreige et Joana Hadjithomas. Cette  exploration de la guerre civile libanaise, entre Beyrouth, Montréal et Paris, est calée au 12 janvier.

Gagarine, de Fanny Liatard et Jérémy Trouilh ©Margaux Opinel

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