Malavida date ses prochaines rééditions

NOUS ETIONS JEUNES de Binka Jeliazkova © Malavida

Après avoir annoncé ses projets, le distributeur précise les dates de plusieurs (re)découvertes, dont certaines inédites en salles.

L’Inde fantôme, la série documentaire de Louis Malle, sera pour la première fois en salles le 8 février. « Il s’agit de sept films d’environ cinquante minutes qui tentent de restituer ce qu’a été pour nous un voyage en Inde, voyage cinématographique, sans plan, sans itinéraire précis, donc improvisé au fil des jours », décrivait lui-même le cinéaste au sujet de cette expérience charnière dans son œuvre. À noter qu’une exposition itinérante, conçue par la Cinémathèque française, pourra circuler dans les cinémas avec le concours de l’ADRC.

Louis Malle, gentleman provocateur partie 2, suite de la rétrospective, sera en salles à partir du 10 mai, avec trois autre films emblématiques, restaurés en 4K par Gaumont : Lacombe Lucien (1974), Au revoir les enfants (1987), Milou en mai (1990).

La rétrospective Binka Jeliazkova débutera le 8 mars, pour la journée de la femme. 
Pour faire connaître, à travers quatre films, une réalisatrice bulgare libre et engagée, quasi-inconnue en France : La Vie s’écoule silencieusement (1957), Nous étions jeunes (1961), Le Ballon attaché (1967), La Piscine (1977).

Le Petit hérisson dans la brume et autres merveilles sortira le 5 avril. Un programme de quatre courts métrages, à voir dès 3 ans, pour remettre en lumière l’inventivité du cinéma d’animation soviétique, dans des films inspirés de contes ukrainiens : Le Petit hérisson dans la brume de Youri Norstein, La Moufle de Roman Kachanov, Il était une fois un chien de Eduard Nazarov et Le Lionceau et la tortue de Inessa Kovalevskaya. 

Enfin, Jeanne et le garçon formidable, d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau, ressortira le 14 juin, pour son 25e anniversaire. Le film musical de toute une génération, avec Virginie Ledoyen, Mathieu Demy, Valérie Bonneton, Denis Podalydès, Jacques Bonnaffé…

NOUS ETIONS JEUNES de Binka Jeliazkova © Malavida