Box-office 1er jour : Esther 2 : Les Origines terrorise le podium

Le prequel du film d’horreur sorti il y a 13 ans, prend la tête des nouveautés cette semaine, sans entrée fracassante.

Accompagné par Metropolitan, Esther 2 : Les Origines effraie plus de 28 700 spectateurs avec une moyenne satisfaisante de 34 tickets par projection. Réalisé cette fois par William Brent Bell (The Boy) et non plus Jaume Collet-Serra, le film compte toujours au casting Isabelle Fuhrman dans le rôle principal mais n’arrive pas à enclencher l’intérêt suscité par le premier opus, qui avait réuni 64 100 spectateurs dès son premier jour et avait fini sa course à près de 639 000 billets. 

En seconde place, Les Vieux Fourneaux reprend du service. Co-distribué par Apollo et Orange Studio, le deuxième volet des aventures de la bande portée par Pierre Richard enregistre 25 404 entrées (36 093 avec AP), mais se limite à une moyenne de 14 sur 1 873 séances. Un résultat en deçà des 55 775 tickets accaparés par le premier à son démarrage. 

Chez Sony, Là où chantent les écrevisses, l’adaptation du best-seller aux 12 millions d’exemplaires de Delia Owens, enclenche l’intérêt de 17 155 personnes, dont 13 en moyenne. Le récit suit le quotidien d’une jeune femme incomprise, elevée seule dans les marécages, qui se retrouve accusée d’un meurtre. Le rôle principal est porté par Daisy Edgar-Jones (révélée dans la série Normal People), aux côtés de Taylor John Smith (Blacklight) et Harris Dickinson (King’s Man : Première Mission). 

Pour sa plus grosse sortie en termes de copies, Art House a misé sur le premier film d’animation du Japonais Yusuke Hirota, De l’autre côté du ciel. Doublé entre autres par Philippe Katerine, le récit fantaisiste, adapté d’un conte populaire, se satisfait de 13 812 entrées (38 753 avec AP). Déployé sur 1 079 séances, il attire 13 spectateurs en moyenne par projection.

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Réalisé par Bruno Samper et Kristina Buozyte et distribué par Condor, Vesper Chronicles est le produit d’une coproduction belgo-franco-lituanienne. Un récit européen avec des ingrédients empruntés aux blockbusters américains, qui parvient à attirer 12 098 curieux, dont 14 en moyenne via 839 séances. Le duo de réalisateurs s’était déjà essayé à la science-fiction en 2013 avec Vanishing Waves, mais n’avait démarré qu’avec 77 spectateurs, sur 8 copies cependant.

Côté films plus confidentiels, America Latina (Le Pacte) attire 707 curieux, dont 114 en AP, la ressortie de Gerry de Gus Van Sant par Carlotta capte 448 cinéphiles tandis que La Veronica, sorti par le distributeur émergent Moonlight, enregistre 380 entrées.